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Le monde a besoin d'un Sauveur (histoire du Salut)

Il décrit la quête du mystique de l'homme depuis l'époque sumérienne et égyptienne jusqu'à nos jours. Il est l'aboutissement de recherches historiques, archéologiques et sotériologiques, au travers des fondateurs ; c'est un livre documenté qui, par une analyse réaliste, propose une saine remise en question et d'aider le lecteur à comprendre le rôle que les « progressistes » jouent au sein de l'Humanité, et celui qu'il aura dans le proche avenir. Les sources d'informations se complètent les unes les autres, formant une mosaïque chargée de significations.

Les épreuves que nous traversons actuellement correspondent bien à l’avertissement de l’apôtre Jean sur l’iniquité, l’apostasie. L’ouvrage nous fait comprendre l’emprise sous laquelle nous vivons.

(Évangile de Jean 8 : 58)

 

« En vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu’A(b)raham [A(v)r-am] fût, "Je suis". » (Évangile de Jean 8 : 58)

La preuve de la préexistence du Christ est que Jésus a existé (en sa divinité, non pas en son humanité) avant sa conception.  Cette doctrine est indissociable de la notion de Trinité.

Le philosophe et théologien chrétien Augustin d'Hippone a dit : « La vraie origine du mystère de Jésus ne peut pas être cherchée dans le monde ;

elle est cachée dans l’éternité. »

Les sumériens et les rois Anunnaki  révèlent déjà le symbole de la « Croix »

Le Christianisme n’avait donc nul besoin de la religion hébraïque pour être introduit en Égypte, nul besoin d’un relais, car, depuis les origines, l’Égypte laissait entrevoir les aspects précurseurs de la pensée chrétienne : la fraternité, l’humanisme et la légendaire sagesse de la civilisation égyptiennes préexistantes.

 

Déjà dans le IIIe millénaire avant notre ère, le symbole de la croix trouve ses racines en Égypte, un symbole d’Osiris et la croix ansée, Ânkh, un symbole de vie éternelle.

À travers cet ouvrage, je révèle les mensonges et les différents plagiats indiscutables des « Elohistes ». Finalement, le récit de la Genèse n’est qu’un banal plagiat des poèmes assyro-babyloniens antérieurs, relatifs aux légendes de la création du monde.

Mes textes permettent de mieux comprendre en quoi, par notre consentement, notre inaction, nous en devenons des complices consentants. Hélas ! Les hommes ne veulent pas entendre la vérité parce qu'ils refusent de voir s’effondrer leurs illusions.

L’ouvrage est un plaidoyer pour exhorter à retrouver la vrai Christologie

au-delà des égoïsmes des hommes, principales entraves.

À partir de nombreux exemples concrets, je démontre que, malheureusement, les croyants ont souvent tendance à transmettre une fausse vision de Dieu. Ainsi, pour plusieurs raisons, ce livre est un ouvrage de pédagogie unique en son genre.

 

 « Cherchez en lisant et vous trouverez en méditant ; appelez en priant et on vous ouvrira par la contemplation. » (Jean de la Croix, Maxime 209)

 

« L'esprit de l'homme est ainsi fait que le mensonge a cent fois plus de prise sur lui que la vérité. »

(Erasme - Éloge de la folie, 1509)

 

A propos de Moses/MoŠ(h)E /Moïse, ou l’inventeur de la Terre promise.

À ce jour, aucune trace archéologique de Moïse n'a été retrouvée, ni d'allusion à son existence, antérieurement au récit biblique, tant en Égypte qu’en Palestine, alors que l'on connaît les principaux notables de l'entourage des pharaons du Nouvel Empire. Les connaissances scientifiques sur les personnages de l'Exode sont donc très faibles et se réduisent à quelques remarques sur les noms et les ressemblances.

Selon l'archéologue Christiane Desroches Noblecourt : « Le nom de Moïse, issu de Mosé (mès = enfant ; mésy = mettre au monde) constitue également la déviation du nom très égyptien dont la première partie est constituée d’un nom divin : Thot-mès, Ra-mès... ». Selon une légende mésopotamienne, le roi Sargon (2350 av. J.C.), fils d’un nomade et d’une prêtresse, né à Azupiranu sur l'Euphrate, est abandonné au fil de l’eau et recueilli par un jardinier qui l’élève comme son propre fils. Une récupération de ce fait est à l'origine du mythe du Moïse biblique. Légende apparue trois cents ans après la mort du roi Sargon.

De plus, on ne trouve pas dans les registres égyptiens les dates mentionnées dans la Torah (Bible). Les miracles et les fléaux qui y sont décrits ne peuvent pas être interprétés littéralement, mais nous pouvons toutefois en conclure une chose : un exode aurait pu se produire pendant un déclin de l'autorité centrale et des conditions économiques, et/ou la recherche ailleurs d'une vie meilleure.

Toute datation avant le Nouvel Empire est discréditée, du fait des anachronismes de la Bible, tels que les chars, la cité du pharaon Ramsès, des chameaux et des esclaves asiatiques. La seule turbulence interne enregistrée pendant le Nouvel Empire impliquant les asiatiques se produit à la fin de la XIXe dynastie, à l'effondrement de l'âge du bronze.

Regardons maintenant d’autres similitudes dans les faits :

A propos du récits relatifs des célèbres "plaies" d’Égypte

Ces prétendues catastrophes n'ont laissé aucune trace dans les écrits des anciens Égyptiens et doivent être considérées, par conséquent, comme purement légendaires. En outre, cette succession de récits est rigoureusement absurde puisque, par exemple, il aurait été impossible de distinguer les sauterelles de Moïse de celles des mages du pharaon et il en aurait été de même pour les taons, les moustiques, les grenouilles, l'eau changée en sang etc... La Bible elle-même se contredit au sujet des plaies d’Égypte puisque dans les Psaumes 78 et 105 il n'est plus question de dix plaies mais de sept et celles qui sont citées là sont différentes de celles relatées en Exode, 7 : 8 à 12, 34.

Ainsi, pour plusieurs raisons, ce livre est un ouvrage de pédagogie unique en son genre. il propose une saine remise en question.

Lire et faire lire....

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Merci par avance à celles et ceux qui le commanderont.

 

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